
Sculptures, peintures et mosaïques; avec cette nouvelle exposition temporaire, la Ville de Commercy vous invite à plonger dans « Lumières et matières »
La Ville de Commercy aura le plaisir d’accueillir du 1er au 30 avril 2023, dans la salle d’honneur du château Stanislas, les artistes Danielle Lacrabère, Philippe No et Lydie Noacco pour l’exposition “Lumières et Matières“.
OÙ – Château Stanislas – salle d’honneur
QUAND – Du 1er au 30 avril; Ouverture au public de 15h à 18h, les week-ends et jours féries le lundi 10 avril. Entrée Gratuite.
QUOI – Exposition Lumières et Matières
QUI – Danielle Lacrabère, Philippe No et Lydie Noacco

Présentation de l’artiste :
Artiste plasticienne, se définit volontiers comme chercheuse d’art, exploratrice et partageuse d’expériences.
C’est avant tout le regard poétique qu’elle porte sur la nature qui l’inspire depuis de nombreuses années. Pour résumer l’esprit dans lequel elle travaille, elle aime citer Jean DUBUFFET: « l’art est un jeu, un jeu de l’esprit, le jeu majeur de l’homme.»
Jouer, c’est bien là ce qui l’anime, jouer en mêlant le réel à l’imaginaire. C’est ainsi qu’elle donne naissance à des toiles, le plus souvent des paysages, Qui se situent entre abstraction et figuration.
Fondeur dans l’industrie mais aussi dans le bronze d’art depuis 40 ans, Philippe No a découvert et appris le travail de le pâte de verre il y a 12 ans pour se diriger aujourd’hui vers des sculptures dont le but est l’association des deux matériaux,
La finalité est de profiter du contraste de ces deux matières,opposées dans leurs apparences mais identiques dans leur mise en œuvre par le moulage a la cire perdue et le passage par l’état liquide lors de la fusion,
La résistance et l’éclat du métal supportent ,mettent en valeur la fragilité,la couleur et la transparence du verre, en autorisant des équilibres parfois improbables.…
Le fil conducteur de sa création a toujours été et demeure un questionnement sur les lois qui régissent le vivant, la matière, la lumière. Mais l’icône reste le point de départ de sa recherche. Comment représenter l’invisible ?
Mosaïques byzantines, vitraux se sont associés naturellement à ce besoin de transcendance, de transmutation.
Transcrire le sens et l’énergie de ces symboles dans ses tableaux , les transmettre au spectateur qui va expérimenter de façon personnelle son rapport aux lois qui animent et régissent le vivant …
C’est son défi, sa joie de transmettre au spectateur ” récepteur ” la lumière à l’origine de la matière .